Saviez-vous qu’environ 80% des sinistres sont causés par l’eau ? Si vous y êtes confrontés, vous n’êtes pas seuls !
Il existe trois catégories d’eau déterminées par leur source : l’eau propre, l’eau grise et l’eau noire*. Identifier la catégorie d’eau est essentiel lors du traitement d’un sinistre puisque cela permet d’adapter les méthodes de nettoyage et d’assèchement et de déterminer lorsqu’une démolition est nécessaire.
Qu’est-ce qui distingue chaque catégorie d’eau et que peut-on faire en fonction de celles-ci pour minimiser les dommages ? Nous vous avons concocté un petit guide des mesures à prendre en fonction de la catégorie d’eau à laquelle vous êtes confrontés pour vous aider à y voir plus clair.
*N.B. Les dénominations « eau grise » et « eau noire » ne réfèrent pas à la couleur de l’eau à proprement parler mais plutôt au degré de contamination.
L’eau dite « grise » désigne une eau domestique faiblement polluée. Elle est non potable. Les eaux usées provenant des douches et des lave-vaisselles, par exemple, sont des eaux grises.
L’eau propre, quant à elle, n’a pas été en contact avec des contaminants. Elle provient, par exemple, des débordements de bain ou d’évier – sans savon -, de la fonte des neiges, d’une fuite dans un tuyau, etc. Elle est sans odeur et considérée comme potable.
Prenez note qu’une eau claire ou grise peut changer de catégorie si elle n’est pas nettoyée et asséchée de la façon appropriée dans un délai raisonnable.